• À lire aussi : Gros défi Pierre Lavoie : le pont Jacques-Cartier fermé dimanche Comme tout ce qui touche aux événements, le GDPL n’a pas été facile en raison de la pandémie de COVID-19 ces dernières années. C’était aussi la première fois depuis l’arrivée du virus que le 1000 km, l’une des épreuves phares du Grand Défi, pouvait reprendre ses activités normales, notamment l’arrivée festive au Stade olympique. “Il fallait qu’on rentre et qu’on se retrouve”, a déclaré Pierre Lavoisier après le GDPL. Il serait facile de se dire que j’en avais assez fait ou qu’il était temps de passer à autre chose. Beaucoup de gens ont progressé pendant le COVID-19 et je pense que c’est faux. “Nous devons commencer par le début.” “C’est difficile de partir. Trouver des bénévoles, des participants et des financements est difficile. Cependant, il était de notre devoir de le faire, car nous devons nous assurer que le COVID-19 a causé le moins de dommages collatéraux possible. Cela ne passe pas par la pensée, mais plutôt par l’action. “Je savais que cela prendrait deux fois plus de temps que les années précédentes. Il fallait partir et j’ai vécu l’un des plus beaux événements que nous ayons eu depuis 2009”, a-t-il ajouté avec émotion. Merci aux bénévoles Pierre Lavoie a tenu à souligner la participation indispensable des 540 bénévoles qui ont permis de mener à bien l’édition 2022 du GDPL. “Ceux qui sont revenus ont apporté le savoir-faire et nos jeunes volontaires ont été guidés par les vétérans. “Ils ont tous été fantastiques et sont à la base du succès du Grand Challenge”, a déclaré l’homme de 58 ans. Maintenant que la 12e édition de l’événement, qui vise à créer une culture de la santé préventive au Québec en encourageant les gens à adopter de saines habitudes de vie, est terminée, Pierre Lavoie pense-t-il déjà à l’an prochain? “Quand on m’a posé cette question avant l’événement, j’ai répondu qu’il fallait voir si on pouvait redonner de la magie et briller aux yeux des participants. Il fallait aussi voir si on avait trop de dégâts de la part de l’organisation. “Alors nous prendrions une décision.” “Je ne m’attendais pas à voir un tel niveau d’organisation et de participation. “Il est certain que nous reviendrons l’année prochaine”, a-t-il conclu.