Le retour tardif de la campagne présidentielle des réélus le 24 avril a peut-être freiné les Français tentés de suivre la logique du vote présidentiel. Mais plus encore qu’à l’élection présidentielle, l’abstention, record de 53% pour un premier tour d’élections législatives, a joué un rôle clé dans le scrutin.
Emanuel Macron n’a pas beaucoup participé à la campagne
Emanuel Macron n’aura effectué que quelques déplacements en France après s’être investi pour un second mandat, notamment à Saint-Denis sur l’accès des jeunes au sport et ceux hospitalisés, Cherbourg et scolaires à Marseille. VIDÉO. Lycée : les mathématiques “facultatives” reviennent en première année à la rentrée, selon Macron Dans les derniers jours de la campagne, les troupes présidentielles se sont déployées sur le terrain pour faire passer le message et sécuriser la nouvelle feuille de route présidentielle. La mise en place, après les élections législatives, d’un “Conseil National pour le Rétablissement”, sur le modèle du Conseil National de la Résistance créé en 1943, pour réaliser les objectifs du quinquennat (indépendance, plein emploi, réforme d’établissements, etc.) )) et abordent d’abord deux projets prioritaires, l’éducation et la santé. un calendrier plus précis pour la réforme des retraites (été 2023) ou donner des précisions sur la future loi sur le pouvoir d’achat. “L’enjeu de cette élection, c’est de savoir si oui ou non on donne au président une majorité pour agir sur les urgences évoquées pendant la campagne présidentielle, comme le pouvoir d’achat”, a expliqué Stanislas Guérini avant le candidat du premier tour à Paris et ministre de la Fonction publique. Service.